Je m’appelle Lucie, j’ai 28 ans et je viens juste de trouver un job dans une boutique de vêtements tout près de chez moi.
J’habite dans un petit immeuble de 2 étages que nous partageons entre 4 locataires. Un couple d’une trentaine d’années, une femme et sa fille de 5 ans et un voisin de palier qui vient tout juste d’aménager.
Ca me change de la fille qui habitait en face de chez moi depuis deux ans. J’aime bien l’idée d’avoir un voisin. Sans compter qu’il est plutôt pas mal. Il est tellement sexy. En menant ma petite enquête auprès des voisins j’ai su qu’il était célibataire. Une chance pour moi !
Il doit avoir entre 25 et 30 ans, je ne sais pas dans quel domaine il travaille, cependant il excelle à la guitare. J’apprécie les quelques mélodies qu’il joue de temps en temps, en début de soirée. Je me dis que s’il fait l’amour aussi bien qu’il joue de la guitare alors je m’abandonnerai bien entre ses doigts…
Un soir, alors que je bouquinais dans mon lit, adossée au mur de ma chambre, j’entendis des gémissements. Ce fut d’abord comme une douce plainte mais rapidement les gémissements se transformèrent en râles et parfois en petits cris. J’entendais de façon très nette les craquements du lit qui tapait régulièrement contre le mur. J’ai trouvé ça très troublant et excitant à la fois.
Je me surpris à imaginer que c’était moi à la place de cette fille qui rugissait de plaisir. J’imaginais sa bouche effleurer la mienne, sentir la chaleur de sa langue parcourir lentement mon corps pour se poser délicieusement sur mon sexe… Cela a duré deux bonnes heures avant que je puisse trouver le sommeil.
Au lendemain, mes 5 sens éveillés, je ne perdis une seule seconde pour aller taper à sa porte, prétextant habilement que son lit tapait contre mon mur. Il se mit à rougir et s’excusa en me disant qu’à l’avenir il serait plus discret. Dans ma tête je me dis que j’aimerais bien être la prochaine…
Durant la semaine, nous nous sommes croisés plusieurs fois. Je n’avais pas pour habitude de rentrer manger le midi mais cette semaine-ci je l’avais prise. Je cherchais à tout prix à le croiser pour provoquer un rendez-vous. Je sentais qu’il y avait un véritable désir entre lui et moi. Après plusieurs regards, sourires, je lui proposai de venir boire un verre chez moi. Sans hésitation, il accepta mon invitation pour ce samedi.
Mes fantasmes allaient enfin se réaliser. Je brûlais d’envie de passer à l’acte.
Le samedi arriva. Je mis une petite robe moulante qui m’arrive mi-cuisse. Elle laisse apercevoir que je ne porte aucun sous-vêtement. Je mis également une musique lounge et quelques bougies pour tamiser l’ambiance.
Les apéritifs, posés sur la table basse du salon, n’attendaient qu’à être dévorés, tout comme moi…
Une fois arrivé, nous nous posâmes confortablement sur le canapé, l’un à côté de l’autre. Une tension sexuelle silencieuse entre nous s’installa. Pendant la discussion je ne pus m’empêcher de le dévorer du regard. Ce fut plus fort que moi. Mon désir pour lui était vraiment palpable.
Au cours de la soirée, je posai négligemment ma main près de lui dans l’espoir qu’il la recouvre de la sienne. Je cherchais par tous les moyens à créer un premier contact physique sans paraitre trop en demande. Le silence se fit, il prit ma main et la porta à sa bouche. Je sentis le contact de sa langue sur le bout de mes doigts. Je m’approchai de lui pour lui enlacer le cou. L’excitation était à son comble. De ma main libre, je parcourus son torse pour descendre lentement sur le haut de sa cuisse, profitant de l’occasion pour y exercer de légers mouvements de vas et viens et de pressions dans le creux de sa cuisse. Il me prit par la taille pour me serrer contre lui. Ma main s’égara sur son sexe pendant quelques minutes et me laissa entrevoir la fougue que lui procuraient mes caresses. Ses mains glissèrent sur mes seins excités de désir. Doucement, il glissa son autre main sous ma jupe et commença à caresser mon sexe chaud et humide. Dès que je sentis le contact de ses doigts, je gémis de plaisir.
Les yeux fermés, je me laissais aller dans un total abandon. Il retira ses doigts pour y déposer sa langue pour m’y faire découvrir des plaisirs insoupçonnés. Je le sentis se délecter de ma saveur dans sa bouche. Mon sexe gonfla de plaisir et je ne pouvais m’empêcher de jouir tellement son geste m’excitait.
A mon tour, je lui dégrafai son pantalon pour lui enlever. Je commençai par déposer mes lèvres sur son caleçon et lui enlevai délicatement pour prendre son sexe dans ma bouche. Je m’appliquai à lui rendre la pareille en mettant des coups de langue et en exerçant des vas et viens entre mes lèvres. Ses gémissements m’encouragèrent à continuer. Lorsqu’il sentit la pression montée, il m’attrapa par la main pour me lever, me prit par la taille et me tourna pour plaquer mes fesses contre lui. Son sexe en érection en disait long sur son état d’excitation. Je me mis à bouger le bassin, à cambrer mon dos pour l’exciter davantage. Je sentis son souffle saccadé dans mon oreille, sa langue venue me caresser le lobe de l’oreille et descendre le long de mon cou.
Du bout de ses doigts, il se mit à caresser mes seins dressés sous le tissu de ma robe, parcourut langoureusement mon corps pour soulever ma robe. Il effleura mon sexe trempé et s’attarda sur mon clitoris gonflé d’excitation. J’accentuai la pression de mes fesses contre son membre tendu. Il passa son sexe entre mes jambes pour le frotter contre le mien. Je le sentis bouger ses hanches ce qui me fit frémir de plaisir. Je gémissais à la moindre caresse tant je le désirais. Je souhaitais sentir les mouvements de son sexe en moi et plus encore.
Je m’agenouillai pour aller plus loin dans notre intimité. Doucement, il introduisit le bout de son sexe en faisant de légers vas et viens pour ensuite me pénétrer avec fougue. J’ondulai du bassin au rythme de ses mouvements. Je me surpris à jouir plusieurs fois sur ses coups de reins, son sexe était tendu, prêt à exploser.
Nous fîmes une courte pause, le temps d’aller dans la chambre et prendre possession du lit. Je m’allongeai en écartant les cuisses pour m’offrir volontiers à lui. Il se replongea entièrement en moi, durant presque une heure. On s’embrassa fougueusement. A chaque coup de langue, je le sentais frémir jusqu’à ce qu’il explose. Il se retira à temps pour me jouir sur les seins toujours tendus de plaisir. Il approcha son sexe de ma bouche pour que j’y passe ma langue en essuyant les dernières gouttes de sa semence.
Nos folles étreintes terminées, nous nous embrassâmes langoureusement. Il me proposa d’aller chercher la bouteille de vin pour que nous puissions prolonger le plaisir au lit.
Après cette épisode, celle pour qui le lit tapait contre le mur et bien c’était moi !